Collection Jeune Vieux. Dépucelé Par La Copine De Ma Mère. (1/1)
Allo, Romain, cest maman, peux-tu descendre chez Ève nos amis, nous y avons été mangés il y a un mois, elle a laissé ses clefs à lintérieur de leur appartement.
La chieuse elle a passé la soirée à parler de votre époque où les filles faisaient lamour avec leur mec seulement la nuit de leurs noces.
Elle est comme cela, mais tu sais, ton papa et ta maman font partie de ces jeunes qui ont attendu cette nuit magique où nous nous sommes découverts.
Papa, le soir de mes noces, papa, papa et seulement papa depuis ce jour.
Pourtant dieu sait, si javais voulu le tromper, jaurais pu le faire depuis longtemps.
Tu verras un jour, tu trouveras la femme de ta vie et tu lui seras fidèle comme je le suis avec ton père.
Maman, ta vie sexuelle je men fiche, garde ça pour toi, même si à 50 ans je sens dans ta voix des regrets.
Prends le double de leur clef, elles sont dans le tiroir de la commode Louis XVI dans lentrée, elle attend devant sa porte.
Je te laisse, de toute façon tu dois partir à tes cours, pour une fois tu descendras à pied.
Bien maman jy vais.
Tu es un bon fils mon chéri, tu verras, on est toujours récompensé dun bon geste.
Dans la commode Louis XVI de lentrée, tu trouveras ses clefs.
Sa commode Louis XVI, encore une de leurs conversations lors du repas ou je me suis fait passablement chier.
Maman se vantait de leur appartement meublé ancien avec des meubles sortis des meilleurs antiquaires du faubourg saint Honoré et Ève leur goût pour le moderne, meubles designs aussi chers les uns que les autres.
Dans cette soirée les seuls moments intéressant ce fut quand étant assis à côté de cette conne, par moments lorsquelle prenait sa serviette posée sur ses genoux, je voyais la lisière de ses bas.
Au fil du repas chaque fois quelle la récupérait sa jupe remontait jusquà me montrer sa petite culotte couverte de dentelles.
Jai fini par mettre ma serviette comme la sienne, pour cacher bas-ventre !
Je lai retiré très vite, javais limpression davoir monté une tente alors que mon pantalon noir cachet plus mon érection.
Attends avant de raccrocher, ou en es-tu dans ta prépa du bac ?
Je travaille, soit sans crainte, mais je dois aller chez Didier, il me manque quelques documents, cest lui qui les a.
Je rentrerais pour dîner, je sais que la ponctualité, cest primordial pour toi comme pour papa.
Pour mon bac, jaurais ma mention très bien, je force sur les maths qui sont un peu mon point faible avec un gros coefficient.
Je te fais confiance mon fils adoré, tu sais que tu es lespoir de ton père.
Il a une grosse situation, mais son regret, cest davoir loupé les finances après lE.N.A.
Je coupe, je prends les clefs et je descends.
Merci Romain de venir me sauver, jai appelé ta mère qui ma dit que ton père était parti au Touquet dans leur villa avant de partir en mer.
Bertrand de son côté est en conférence à son ministère comme tous les mercredis, inutile que je lappelle.
Je mexcuse de tavoir dérangé, elle ma dit que tu étais en train de potasser ton bac.
Tu sais, jai toujours été première en math, si tu veux des renseignements ou que je taide, je suis à ta disposition.
Depuis que je me suis mariée avec Bertrand, il gagne assez bien sa vie et contrairement à ta maman qui travaille trois jours par semaine dans un bureau à mettre à jour des comptes, moi je finis par mennuyer.
Entre, je vais toffrir une limonade.
Elle me prend par la main et mentraîne dans leur salle à manger.
Jai fini dêtre un bébé, jai eu dix-huit ans la semaine dernière, alors la limonade.
Cest vrai, je mexcuse, je savais que tu les avais ces jours si.
Tu me diras ce que tu veux je te ferais un cadeau, 18 ans, âge de la majorité, ça se marque.
Jai pu constater, lautre soir, malgré ton empressement à la cacher, que tu bandais comme un homme.
Je vais être grivoise, jai déjà vu la verge de mon mari bandé dans son pantalon, tu sembles être un jeune homme précoce, ta femme aura bien de la chance.
Bertrand en a-t-il une petite ?
Petite, non, mais cest quavec le temps et son diabète, il sen sert de moins en moins et par moments comme toute femme, malgré mes 50 ans jai toujours des envies.
Mais assez parlé de mes soucis conjugaux, veux-tu une bière.
Pas dalcool, mais un café oui.
Viens dans la cuisine, jen profiterais pour ranger mes courses surtout les produits frais.
Je la suis admirant son côté pile après avoir pu admirer sa petite culotte.
Bizarrement la conne commence à avoir de lintérêt, pour un puceau comme moi.
Eh oui, je suis puceau, pas par envie, mais parce quà ce jour, les petites chattes mont toujours échappé.
Assieds-toi, je démarre la machine, cest du café en grains, tu verras on dirait un café fait par un percolateur de bar.
Sur la table, il y a un sac en matière plastique compostable, je prends les fraises et ouvre le frigo, je les dépose près dun paquet de salade.
Merci de maider, mais jallais le faire.
Tu es déjà occupée à faire le café, ou va la plaquette de beurre.
Elle appuie sur le bouton pour faire deux expressos et sapproche.
Là, dans la porte à côté de la plaquette entamée.
Où ça ?
Pousse-toi, et donne-la-moi, je vais la ranger.
Je mécarte un peu, mais pas suffisamment et quand je lui donne le beurre, son sein touche mon bras.
Décidément, après ma petite culotte, cest mon sein que je toffre, tu vas finir par croire que je tallume.
Si cest le cas, je sais ce que je veux comme cadeau danniversaire.
Romain, je suis mariée et fidèle.
Mais frustrée.
Par le mouvement quelle fait pour se rapprocher et se pencher pour se saisir du beurre, nos bouches sont proches au point de se réunir.
Ses lèvres sont douces et nous échangeons un long baisé bien profond.
Mieux même, ses mains se placent de chaque côté de mon visage pour que notre baiser soit très intense avant de me quitter avec regret.
Nous sommes fous, mon mari peut être de retour à tout moment, il part tôt le matin et rentre de bonne heure certains jours quand ses réunions sont terminées.
Je te veux en cadeau, je te le rappelle, prends tes clefs et celles que ma mère garde, remontons chez moi je suis seul, maman rentre très tard le soir.
Je lentraîne par la main, sur le guéridon de lentrée, elle récupère les deux trousseaux de clefs et nous remontons presque en courant les quelques étages qui nous séparent de ma chambre.
Contrairement à elle, jai ma clef dans mon jean.
Jouvre rapidement, elle en veut la salope, elle est vraiment en manque, dès que nous sommes dans ma chambre.
Elle détache mon jean et comme, lorsque je suis seul dans ma chambre je suis nu.
Lorsque maman ma appelé jai juste mis mon pantalon et mon tee-shirt ainsi que mes tongs dintérieurs.
Ma verge est nue, je suis prise en bouche bandant avant quelle me touche.
Sentant que mon sperme bouillonne dans mes testicules, je lui sors ma verge de son réceptacle bien chaud et agréable.
Je la couche sur mon lit, je place mes lèvres sur sa petite culotte surtout sur sa fente qui dégouline de liqueur.
Continu Romain prend ton cadeau, ta verge dans ma bouche sétait un délice pour moi, ta langue sur ma chatte, cest encore plus divin.
Regarde le signe du destin, cest la même petite culotte en dentelles que tu as vues lors du repas et où elle ta fait bander.
Enlève là, tu la garderas en souvenir, mais dépêche-toi, jai envie de ta belle queue, je dois être une salope qui signorait.
Je me relève, je tire de chaque côté de sa culotte très fine et agréable au toucher.
Ça y est, je glisse lentement dans un sexe féminin.
Peu importe quil y a peu, je pensais quÈve était plus conne que conne, je savoure ce moment de ma vie qui sera gravé à jamais jusquà ma mort.
Peu importe les habitudes dun temps passé ou garçon et fille se faisaient dépuceler lors de leur nuit de noce.
Moi ce sera Ève femme la cinquantaine qui sera ma première.
Entre garçon, nous parlons de notre dépucelage, Didier lui, ça fait deux ans quil la perdu.
Cétait avec une petite pute marocaine qui recevait chez elle à Pigalle.
Il ma donné son numéro, mais trempé ma bite dans la chatte où il avait trempé la sienne, jai préféré attendre.
Quand la belle salope, clamant sa fidélité et écartant ses cuisses à la première sollicitation dun mâle fût moi et qui menserre avec ses jambes, je me retrouve dans un puits de velours.
Je serre les poings pour retarder mon éjaculation.
Bien men prennent, je la fais jouir et pour la première fois jentends les cris de plaisir dune femme en direct.
Ce genre de cri, jen ai déjà entendu dans des pornos, dans des films classiques où le réalisateur avait tourné des scènes torrides.
Même maman avec papa les rares fois où je me suis rendu aux toilettes sans quils mentendent, ma chambre étant à lautre bout de notre appartement et où ils faisaient leur devoir conjugal.
Je récupère, ma conquête dans mes bras, Didier et mon bac, on verra plus tard.
Je la laisse récupérer avant de remettre le couvert.
Nous avons encore du temps et jespère bien la prendre en levrette, ça a toujours été la position que jaime voir dans ces films.
Jentends du bruit, ce doit être la voisine du dessus qui fait du bruit comme à son habitude.
Jai soif, je me détache de ma salope, je lui embrasse le cul avant de prendre la direction de la cuisine.
À quelques mètres, jentends la voix de maman et très vite, je vois et jentends ce quelle fait avec Bertrand le mari de ma maîtresse sur le plan de travail de notre cuisine.
Baise-moi salop, vas-y fort, mon mari est au Touquet et Romain chez son copain.
On se dépêche, Ève pourrait se demander pourquoi je rentre en retard.
Elle est un peu, même bien jalouse, mais toi, jadore te baiser chaque fois que nous le pouvons.
On est même fou, la dernière fois, cétait ici dans cette cuisine quand je découpais le gigot.
Ils étaient tous dans la salle, tu as relevé ma jupe, jétais nue mouillant de désir.
Jai failli me couper quand ta belle verge est entrée en moi.
Ève pérorait devant tout le monde, il faut toujours quelle ait la bouche ouverte.
Je sens une présence derrière moi.
On parle de moi !
Catastrophe, ma maîtresse sest levée, je sens ses seins dans mon dos et sa main venant prendre ma verge.
Je lai fait monter très haut et elle doit être un, peu dans du coton.
Merde, Bertrand et toi salope, que fais-tu avec la bite de mon mari dans ta putain de chatte.
Et toi, que fais-tu avec mon fils aussi nu que lui et ta main sur sa bite.
Moralité, je suis le seul qui sen sort bien.
Mes parents ont divorcé.
Ève et Bertrand aussi.
Deux appartements,mais après quatre, grossissant le manque de logement.
De mon côté, jai eu mon bac avec mention et après mêtre inscrit à math sup, jai emménagé avec Didier en collocation.
Nous sommes les rois des parties fines avec des gonzesses.
Merci à Ève de mavoir dépucelé, malgré les conséquences.
Je vous quitte, en ce moment, la belle rousse de mon âge que je prends en levrette et qui pourrait être la femme de ma vie, ce fou royalement dêtre vierge pour son mariage.
Moi aussi dailleurs.
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